Communication environnementale : supprimer les freins à la digitalisation

Quand on compare les études les plus récentes, on constate que la proportion d’entreprises pleinement engagées dans leur transformation digitale s’établit autour de 10%. La digitalisation séduit sur le principe mais reste parcellaire. Coût, complexité, manque de compétences, résistance au changement, manque de vision stratégique : les freins sont nombreux.

La digitalisation de la communication environnementale des entreprises n’échappe pas à ce constat. Pourtant ce domaine est clé, notamment pour les exploitants d’installations classées. Gagner en crédibilité et en acceptabilité est un enjeu stratégique pour les entreprises dont l’empreinte environnementale est significative. Cela nécessite des échanges réguliers avec des parties prenantes variées qui souhaitent être mieux informées et plus impliquées. Un terrain qui semble propice à la digitalisation…

En interrogeant les responsables environnement et communication, on constate qu’une solution digitale suscite un vrai intérêt avec néanmoins des freins à trois niveaux:

1-Difficulté à anticiper l’attrait des parties prenantes pour ce type solution: adhésion, indifférence, rejet?

2-Crainte d’un système trop ouvert permettant la réutilisation d’informations contre l’entreprise

3-Manque de moyens humains pour animer la démarche et répondre aux sollicitations

En proposant un outil digital et des services adaptés, la solution nosRiverains lève ces freins.

1-Pour anticiper l’accueil d’une solution digitale sur un site donné, nosRiverains propose de réaliser un pré-diagnostic. Les principales parties prenantes sont consultées (panel de riverains, élus locaux, administration, associations). En fonction des retours, une phase de test en conditions réelles est mise en place. Ce n’est qu’à l’issue du test que l’entreprise décide ou non d’implanter la solution.

2-Afin de sécuriser l’environnement de partage, l’outil permet à l’entreprise de diffuser ses informations soit de manière large à l’intérieur d’un périmètre qu’elle définit, soit de manière ciblée à des groupes de personnes de son choix. Les destinataires peuvent bien-entendu réagir aux publications de l’entreprise. Ces retours ne sont visibles que de l’entreprise et de personnes autorisées comme les élus. A la réception d’une sollicitation, la discussion peut s’engager avec l’expéditeur via une messagerie instantanée. Par ailleurs, un système de double validation des publications permet à l’entreprise de bien jauger leur sensibilité avant envoi.

3-Pour faciliter la gestion des interactions, nosRiverains propose une prestation de modération. La digitalisation facilite la participation. C’est bien l’objectif : plus de données pour une meilleure compréhension de son environnement et une meilleure prise en compte des attentes. Mais les PME/ETI n’ont pas toujours les moyens humains pour gérer des sollicitations qui peuvent parfois être nombreuses. La modération consiste à les trier selon leur sensibilité et leur récurrence. Sur la base d’un cahier des charges défini avec l’entreprise, le modérateur peut effectuer une pré-réponse aux sollicitations les moins sensibles et décharger l’entreprise qui n’a plus qu’à valider.

Plus simples et plus conviviales qu’auparavant, les solutions numériques d’entreprise savent aussi s’adapter de mieux en mieux aux besoins de leurs clients. Pour ce qui est de la communication environnementale, toutes les conditions sont réunies pour franchir le pas de la digitalisation !

Le 26/07/2018